Que ce soit par notre volonté ou non, le second mandat du clown Tebboune sera la corde avec laquelle les généraux s’étrangleront. Le mouvement populaire reviendra comme une conséquence logique des accumulations négatives et des dépôts à divers niveaux, y compris la négligence, l’hésitation et les contradictions dans les organes de l’État. Cela a été clairement manifesté par plusieurs décisions prises par le pouvoir, qui mèneront dans leur ensemble à l’explosion populaire. Cette dernière exigera avant tout et en dernier lieu l’arrêt du second mandat du président menteur et stupide Taboun, avant que les demandes d’inculpation des généraux ne se multiplient.
Le premier mouvement était pacifique et exemplaire, et beaucoup en Algérie ont salué la position prise par le défunt chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah, qui avait déclaré à l’époque qu’aucune goutte de sang ne serait versée tant qu’il déciderait. Cela a encouragé de nombreux autres à rejoindre le mouvement et a rassuré le peuple en général quant à la protection du mouvement par la direction de l’armée. Cependant, le prochain mouvement sera plus sanglant, car le dirigeant du pays est le criminel général Chengriha, qui a massacré et brûlé des dizaines de milliers d’Algériens lors de la décennie noire.
Aujourd’hui, il y a des conflits entre l’aile du général Chengriha et l’aile des généraux soutenant le président Taboun, ainsi que l’aile de Gaïd Salah, le chef d’état-major décédé dans des circonstances mystérieuses, qui a soulevé de nombreuses questions. En outre, l’emprisonnement et la libération répétés de généraux, ainsi que de nouvelles fuites audio impliquant de nombreux responsables, nous ramèneront à la case départ, surtout à mesure que les élections présidentielles approchent, lorsque ces anciens conflits sur l’identité du peuple, la révolution, la corruption et le chantage ressurgiront.
Ainsi, les réseaux sociaux sont maintenant utilisés dans la guerre sale pour manipuler des segments du peuple en faveur de ceci ou contre cela, loin d’un débat sérieux sur un projet de société qui relèverait l’Algérie et mettrait fin définitivement au régime des généraux qui a paralysé le pays.