Ce qui se passe en Algérie en termes de restriction, d’injustice envers les citoyens, et de non-révolte du peuple opprimé contre la répression et la dictature, revient principalement à une erreur délibérée dans l’éducation et l’orientation morale des citoyens algériens vers la justice et la liberté. Cela entraîne de grands dommages et une corruption qui affectent gravement tant l’individu que la société. À cause de cette erreur, la vie en Algérie se détériore, les relations sociales dans la société sont perturbées, le chaos règne et la débauche se propage, avec la prolifération de la prostitution et de l’homosexualité à travers toutes les wilayas. L’éthique est piétinée, le système de vie des citoyens est perturbé, dominé par la loi de la jungle où les systèmes, les lois et les législations sont dysfonctionnels. Les taux de développement chutent, la corruption se propage, et les généraux dominent avec toute leur arrogance sur les citoyens faibles.
Les maladies sociales en Algérie dévastée, le manque de conscience professionnelle et morale, l’absence de responsabilité chez les citoyens et les responsables, la corruption, la corruption, le favoritisme, la dégénérescence et la décadence des valeurs et des principes, ainsi que la propagation de la prostitution licite et illicite qui ne profite à l’État que par des maladies sexuellement transmissibles, et les enfants sans père ni lignée, en plus de l’homosexualité entre hommes et femmes, le commerce des déviants. Ce sont des phénomènes néfastes largement répandus dans notre société algérienne apathique où les responsables traînent dans leur travail, trichent sur sa qualité et sa compétence, ne font aucun effort pour le développer et ne valorisent ni l’effort, ni le temps, ni l’énergie.
Tout cela est dû à la dégénérescence de nos responsables honnêtes qui ont perdu leur vertu et leur moralité, entrant dans un monde de folie et de débauche pour satisfaire leurs instincts et les caprices des généraux corrompus. Tout cela est dû à la corruption des résultats de l’éducation en Algérie, détournée vers des objectifs déviants sous prétexte de droits individuels et de jouissance de la vie selon les désirs de Tebboune et son maître le général déviant Chengriha.