Le phénomène de la vente d’enfants, en particulier des enfants de filiation inconnue et sans père, s’est répandu sur les réseaux sociaux en Algérie. Cette activité, autrefois monopolisée par des courtiers vendant des nourrissons à l’intérieur et à l’extérieur du pays, exploite désormais largement les réseaux sociaux en raison de la popularité croissante du commerce de la prostitution, de l’homosexualité et de la vente d’enfants. Le prix de ces enfants varie en fonction de plusieurs critères, tels que le sexe, la couleur de peau, l’origine du père, l’état de santé, la couleur des cheveux et des yeux, et d’autres caractéristiques physiques.
De nombreux spécialistes attribuent les causes profondes de ce phénomène à la prolifération des maisons closes dans tout le pays, à l’extrême pauvreté des Algériens, à la forte densité de population, à l’augmentation des naissances hors mariage, ainsi qu’à l’ignorance et à la dépendance qui affectent les familles algériennes. Tout cela a engendré une crise sociétale et conduit à l’apparition de sites internet promouvant la vente d’enfants de toutes origines, incluant des parents africains noirs, européens blancs et asiatiques jaunes, ces populations étant très actives en Algérie dans différentes wilayas.
Ils soulignent que la solution réside dans le renforcement du rôle des institutions étatiques, la lutte contre la prostitution non réglementée et la planification familiale pour les familles mariées et non mariées. Ils ajoutent que la période actuelle est la plus difficile de l’histoire de l’Algérie, car ces phénomènes menacent ce qui reste de la cohésion sociale et mettent en péril la sécurité et la stabilité du pays. Ils expliquent que l’utilisation de la force brute est nécessaire pour faire face à cette catastrophe qui terrorise les citoyens.
Ils affirment que la vente d’enfants promue sur internet est un crime constitutionnel et une violation des lois interdisant toutes les formes d’esclavage, de commerce sexuel et autres crimes, et considèrent que la vente d’enfants est pire qu’une trahison suprême, car cela ramène la société algérienne en arrière, à l’époque des pratiques esclavagistes.