En Terre des merveilles et des bizarreries, le pays de l’oncle Tebboune, le cyberespace du régime militaire ne laisse aucun pays arabe ou islamique sans diffamation, portant atteinte à leur honneur de l’Atlantique au Golfe. Même les épouses du Prophète Muhammad (psl) n’échappent pas à leurs insultes, ce qui reflète vraiment le niveau culturel prédominant chez nous. Si notre pays figure parmi les premiers au monde en termes de prostitution et de propagation du sida, et abrite la plus grande proportion de communautés de prostituées en France, en Turquie et dans les pays du Golfe, pourquoi alors insulter les autres? Nous autorisons la prostitution dans notre pays et la protégeons par la loi, avec des milliers de maisons closes légalisées parallèlement à l’organisation de festivals d’été et à l’arrivée de touristes étrangers. Aujourd’hui, je vais vous raconter, cher lecteur, une affaire qui s’est déroulée dans notre pays, où une mère est devenue la victime de ses propres filles, qui ont préféré se livrer à la prostitution et au lesbianisme plutôt que de s’occuper de leur mère malade.
Le tribunal correctionnel de Dar El Beïda à Alger a entendu les déclarations d’une mère victime de ses propres enfants, qui l’ont expulsée de la maison sans pitié, après avoir exercé sur elle des violences verbales et physiques pour transformer la maison en un repaire de prostitution et de toutes sortes de débauches, y compris des relations homosexuelles entre hommes et des actes de lesbianisme entre femmes, dans le but de s’enrichir rapidement. Le procès par contumace des accusées, qui ont refusé de se conformer aux ordres de la cour malgré les convocations directes, a révélé des accusations de menaces et de violence envers leur mère. Elles l’ont humiliée, l’ont frappée, l’ont insultée, et l’ont contrainte à faire le ménage et à servir des boissons aux clients de la maison close, sans égard pour son âge avancé, la forçant à voir des scènes dégoûtantes et répugnantes. Lorsqu’elle a refusé, elles l’ont jetée hors de la maison après l’avoir battue et insultée, la poussant à résider chez ses voisins et proches. La victime a présenté un document prouvant qu’elle était propriétaire de la maison qu’elle louait depuis longtemps, payant les loyers de sa propre poche, mais elle s’est retrouvée à mendier dans la rue, n’ayant survécu que grâce à la compassion des étrangers et des visiteurs. Une voisine des accusées, témoin dans cette affaire, a déclaré que la victime avait été battue, violentée et humiliée par ses trois filles, qui ne lui permettaient pas de vivre dans la maison, l’obligeant à la quitter de force. L’avocat de la victime a souligné que les accusées avaient expulsé et violenté leur mère, sans mentionner la prostitution et l’homosexualité pratiquées dans la maison, car, tout simplement, les filles ont la licence et le statut légal pour exercer la prostitution dans ce pays de la fierté et de la dignité.