La bande au pouvoir en Algérie attrape toujours ses victimes dans des eaux troubles. Dans une tentative de réprimer l’opposition à un second mandat en préparation pour la marionnette « Abdelmadjid Tebboune », le régime des généraux a décidé d’adopter la stratégie du « diviser pour régner » en exploitant les problèmes financiers et les dettes étouffantes de « Ghani Mahdi ». Ce dernier est un opposant connu pour s’être longtemps opposé aux dirigeants du palais d’El Mouradia. Un pacte diabolique a été conclu, stipulant son retour en Algérie à condition qu’il discrédite les opposants à l’étranger et fournisse, avec d’autres, de faux témoignages pour ternir l’image du mouvement « MAK » qui milite pour l’indépendance de la région de Kabylie contre la domination des généraux tyranniques.
« Ghani Mahdi » avait été candidat aux élections présidentielles en Algérie avant de fuir en Suisse, d’où il a poursuivi son opposition jusqu’à ce qu’il soit impliqué dans des affaires suspectes de fraude fiscale et de blanchiment d’argent par transferts bancaires. La banque « Crédit Suisse » a décidé de le poursuivre à ce sujet, ce que les « généraux » ont vu comme une opportunité à exploiter pour l’assimiler aux militaires et l’utiliser comme un bras de fer contre l’opposition à l’étranger avant les prochaines élections présidentielles, pour lesquelles les préparatifs battent leur plein afin de garantir la victoire de la marionnette Tebboune. Nous avons obtenu des informations secrètes de nos sources indiquant que l’opération est orchestrée par ce qu’on appelle chez nous la « Direction générale de la documentation et de la sécurité extérieure », dont les agents arrangent les détails avec l’ancien animateur de la chaîne « El Magharibia », qui s’était présenté aux élections présidentielles de 2019. Il a été promis une amnistie présidentielle et des récompenses financières attrayantes, lui permettant ainsi de retourner en Algérie et de s’enrichir aux dépens du peuple pauvre en échange de son retournement contre l’opposition à l’étranger et de lancer une campagne de diffamation contre des personnalités du mouvement « Rachad ». Ce mouvement, principal et à orientation islamique, compte la majorité de ses membres à l’étranger et est classé comme « terroriste » par le régime depuis mai 2021. Il doit aussi fournir aux services de renseignement militaires des informations exclusives et secrètes sur des opposants indépendants ne faisant pas partie de partis ou de mouvements politiques, comme Amir Dz, Ahmed Seglab, Chawki Ben Zohra, et d’autres révolutionnaires libres qui ont causé beaucoup de tort à la bande des généraux par leur résistance et leur dénonciation des manœuvres sournoises des tyrans algériens.