Quand nous exposons le régime despotique en Algérie, le dénudant complètement, et que nous discutons et analysons nos nombreuses lacunes, problèmes et défauts à la lumière de la raison et de la logique, alors nous ne sommes pas appelés des traîtres de la patrie ou des ennemis de la stabilité et de la sécurité du pays. Non, nous sommes alors des militants honorables qui sacrifient leur vie et celle de leurs proches contre la bande de malfaiteurs et les tyrans du Palais de la Présidence, pour une Algérie libre, fière, démocratique, ni militaire ni communiste. Une Algérie où le minimum pour une vie digne est garanti, et où les droits de l’homme pour le citoyen ordinaire sont respectés.
Revenons aux Jeux Olympiques qui se déroulent en France et à la honteuse promotion de l’homosexualité et des relations déviantes entre les sexes. Il est étrange que la France recoure à nos enfants d’origine algérienne pour être les héros de cette propagande abjecte. La majorité des acteurs et des champions sont d’origine algérienne, comme ils l’ont eux-mêmes reconnu lors d’interviews mondiales, devant les caméras du monde entier, et se vantent de leurs origines algériennes. Pendant ce temps, nous ressentons honte et regret que ces individus soient affiliés aux enfants de l’Algérie et à nos martyrs glorieux. Mais ce n’est pas tout : même la boxeuse Imane Khelif, devenue le sujet de discussions parmi les célébrités mondiales et les journaux internationaux, fait l’objet de demandes de la commission éthique olympique pour une analyse de ses échantillons masculins. En réalité, elle apparaît comme une femme, résultat d’une opération de changement de sexe. Comme toujours, nous disons la vérité, même si elle est amère ou coûte chère. Ayman, dans plusieurs interviews, parle de son enfance en tant qu’homme et se vante d’être un soldat du camp militaire des homosexuels du général Chengriha. Ainsi, les choses deviennent claires : un homme déguisé en femme pour obtenir une médaille dans des compétitions internationales, même au prix de sa virilité et de son honneur. L’important est que le drapeau algérien flotte, peu importe qui le porte, qu’il soit transgenre ou homosexuel. Vive Tebboune, peu importe qui tombe.