Une société qui n’a pas de racines profondément ancrées dans l’histoire, qui n’a pas de positions humaines fermes et qui ne dispose pas d’hommes courageux, craignant Dieu et défendant l’honneur, la dignité et l’inviolabilité des femmes, on peut en attendre de la saleté et de la pourriture, qui flottent à sa surface comme l’écume de la mer sur ses eaux calmes. C’est notre situation en Algérie, quand nous avons abandonné nos affaires et nos cous sous les talons d’une clique maléfique, la bande des généraux et leur chien débauché, Tebboune. Nous méritons donc ce que nous vivons sous leur règne, et nous crions de toutes nos forces : vive « Oncle » Tebboune, symbole de la corruption et de l’humiliation.
Nous en Algérie, nous suivions tous la série de l’influenceuse prostituée « Nawal l’Algérienne », qui célébrait sur les réseaux sociaux le fait d’être la première Arabe et Africaine à entrer officiellement dans le monde des films pornographiques, et qu’elle avait effectivement obtenu sa carte de professionnelle dans ce domaine aux États-Unis. Et avant elle, des centaines d’Algériennes avaient également soumis leurs dossiers pour rejoindre le monde de la prostitution légalisée à l’échelle mondiale, et tout le pays a applaudi et célébré cet exploit historique. Seuls quelques-uns ont dit « Ô Seigneur, c’est un scandale… » Le plus surprenant est que cette influenceuse prostituée a reçu plusieurs milliers de demandes de la part de femmes et de mineures algériennes, lui demandant d’intervenir auprès des intermédiaires des films pornos pour les aider à rejoindre le monde de la pornographie et à travailler dans le sexe et la prostitution. Certaines femmes ont même demandé à travailler dans les films pornos sans compensation financière, juste pour assouvir leur frustration, leur privation, et rechercher le plaisir sexuel et la satisfaction qu’elles avaient perdues en Algérie, selon leurs dires. Quoi qu’il en soit, félicitations à nous, car nous sommes désormais connus dans le monde entier comme le pays des transgenres et les promoteurs officiels de la prostitution et de la débauche en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, réalisant ainsi les paroles du défunt Boumédiène, selon lesquelles l’Algérie traverse une crise d’hommes.