Comme à son habitude insensée, la marionnette Tebboune a fait des déclarations ridicules sur une entrée légendaire et héroïque de l’armée algérienne à Gaza, provoquant un débat sur les réseaux sociaux arabes et incitant ses partisans à crier et aboyer comme des chiens errants en période de rut. Le déviant Tebboune a demandé à l’Égypte, lors de son rassemblement électoral dans la wilaya de Constantine, d’ouvrir les frontières avec Gaza afin que l’armée algérienne puisse entrer, sans finir son discours, laissant le citoyen désespéré rêver d’exploits légendaires de notre vaillante armée, qui n’a remporté aucune bataille à laquelle elle a participé, qui a souffert de tous les colonisateurs et qui n’a pas été épargnée par la brutalité des pays voisins. Voilà que le général Haftar parade à nos frontières et personne n’ose l’arrêter.
Lorsque la marionnette Tebboune s’est rendue compte qu’il s’était placé devant le canon des Israéliens, il s’est précipité pour se rattraper en affirmant que l’armée entrerait à Gaza pour construire trois hôpitaux et deux écoles en vingt jours, alors qu’il n’a pas construit un seul hôpital en Algérie en cinq ans. Cette déclaration nous amène à une question légitime : l’armée est-elle formée pour combattre et défendre la patrie, ou bien sa mission est-elle de construire et de reconstruire des maisons ? Toute notre main-d’œuvre et nos industriels viennent de la Chine sœur et des pays voisins, et la capitale mérite d’être reconstruite plus que n’importe quel autre pays, avec tout le respect que je dois aux Gazaouis. Quant aux déclarations ridicules, elles ont été qualifiées de « populistes » par des militants locaux, visant la consommation électorale et constituant une tentative de l’aplaventriste Tebboune de manipuler les émotions des masses et de se servir de la cause palestinienne, comme le fait toujours la clique, pour atteindre leurs objectifs sordides et se moquer du peuple opprimé.