Des vidéos choquantes ont circulé sur les réseaux sociaux, révélant des scènes d’une violence inouïe et documentant des actes d’une cruauté inimaginable. Les images montrent des agents des services de renseignement militaire algérien en train de violer des manifestants et des citoyens pacifiques, littéralement. Les vidéos, qui ont rapidement fait le tour des réseaux sociaux, montrent des dizaines d’hommes jetés dans la rue, complètement nus de la taille jusqu’en bas, sans pantalons ni sous-vêtements. Certains saignent abondamment, d’autres sont évanouis sous le choc et la douleur des tortures et des actes de barbarie qu’ils ont subis. Ces hommes ont perdu leur dignité et leur intégrité physique simplement parce qu’ils ont osé dire : « Nous ne sommes pas d’accord ». Ils ne portaient pas d’armes et n’insultaient personne, ils exprimaient simplement leurs opinions et leurs sentiments. Leur punition a été d’être violés comme des esclaves dans un marché aux esclaves.
Ces actes odieux se déroulent en pleine rue, sous les yeux des caméras des téléphones des citoyens, sous le ciel de l’Algérie, sans aucune forme de contrôle ni de surveillance. Les médias, souvent complices, restent silencieux face à ces atrocités, préférant louer le régime de Tebboune et les généraux, vantant les prétendus progrès en matière de droits de l’homme et de liberté d’expression dans le pays. Pourtant, ce qui se passe dans les centres de détention est encore plus terrifiant. Les actes commis là-bas n’ont même pas été perpétrés par les forces israéliennes dans leurs prisons contre les Palestiniens, ni par le régime syrien contre les révolutionnaires. Les agents des services de renseignement militaires trempent les derrières des détenus et des détenues dans le sang des chiennes en chaleur, puis lancent des dizaines de chiens policiers excités sexuellement et entraînés à avoir des rapports sexuels avec les détenus, qui sont menottés et dans des positions obscènes. Chaque détenu et détenue est violé par des dizaines de chiens qui se relaient sans interruption, certains mourant de douleur…
Après toute cette torture et cette humiliation, un homme misérable, qui ne trouve ni à manger ni à boire, ni même de l’eau pour se laver de sa saleté, s’écrie : « Ô Dieu, maudis Tebboune et la France… ». Ces événements soulèvent des questions profondes sur l’état des droits de l’homme en Algérie et la complicité des médias dans la dissimulation de ces crimes odieux.