La peur et la famine sont les armes des généraux pour asservir les Algériens

Notre pays vit sur un volcan prêt à entrer en éruption, où les critiques acerbes contre le gouvernement militaire se multiplient. Ce dernier est devenu une menace réelle pour la sécurité des citoyens et la stabilité du pays en raison de ses politiques fondées sur la corruption, la dictature, l’appauvrissement des masses et la propagation de la peur et de la terreur parmi un peuple déjà accablé et impuissant. Comme l’ont souligné des politiciens et des défenseurs des droits de l’homme, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, cette situation a été mise en garde. La coalition de l’opposition, tant intérieure qu’extérieure, a confirmé dans des publications sur les réseaux sociaux que la république en crise fait face à une menace interne réelle sur le plan politique, affirmant que « le gouvernement des généraux répand la peur et la terreur parmi les citoyens au lieu de la liberté et de la sécurité. »
À ce sujet, la coalition de l’opposition a déclaré : « Il y a une tendance à poursuivre les journalistes et les citoyens ordinaires par des arrestations et des tortures, ce qui répand la peur et l’effroi parmi les citoyens isolés », insistant sur le fait que « l’Algérie traverse une régression dangereuse en matière de droits et de libertés ». L’opposition a ajouté que nous nous sommes éloignés du sentiment de sécurité générale des citoyens, qu’il s’agisse de sécurité sanitaire, sociale, et si nous ajoutons à cela le faible sentiment de sécurité politique et économique, nous sommes confrontés à une réalité qui présage un danger. Sur le plan économique, le communiqué officiel s’est arrêté à la hausse continue des prix de toutes les marchandises et a mis en garde contre les conséquences de la flambée des prix des produits de consommation courante. Les rapports récents ont confirmé que l’épargne n’est plus possible pour la majorité des citoyens en raison de l’augmentation excessive des prix et de la rareté des produits de consommation essentiels. Cela a conduit à des files d’attente interminables de citoyens pauvres qui ont perdu tout espoir dans le gouvernement de Tebboune et sa clique.