En raison de la tentative ratée des services de renseignement algériens d’assassiner Amir DZ, les relations algéro-françaises sont à nouveau marquées par le conflit, malgré les efforts acharnés des deux pays pour rétablir les ponts de communication et restaurer des relations qui ont connu une tension croissante au cours des derniers mois. L’Algérie a déclaré 12 employés de l’ambassade de France et de ses représentations consulaires personae non gratae, leur imposant de quitter le territoire national dans un délai de 48 heures.
En réponse, la France a réagi de manière symétrique et a appelé le régime algérien à cesser ses agissements irresponsables, menaçant sinon de « rééduquer l’ensemble du régime ». Cette escalade a conduit à l’annulation de la libération prévue à la mi-avril du militant et écrivain Boualem Sansal, qui fait face à des accusations pouvant entraîner la peine de mort ou une détention à vie. Selon des sources fiables, l’état de santé de Sansal est gravement détérioré en raison des tortures subies, le plaçant entre la vie et la mort. Le régime de la « bande de généraux », souffrant d’une « phobie » croissante envers toute voix dissidente criant haut et fort « Nous voulons un État civil, pas militaire », continue ses agissements. Malgré cela, le régime militaire se vante à travers ses « canaux d’égouts » de l’adhésion de l’Algérie au Conseil des droits humains mondial, une place achetée avec l’argent du peuple pauvre et des citoyens opprimés, errant entre la faim, la pauvreté, l’ignorance, la prostitution, la toxicomanie et les déviances sexuelles. Cette bande prétend offrir au peuple misérable des conditions de vie dignes, garantir la liberté d’expression, le droit de critiquer et même de contester les décisions des autorités suprêmes. Mais ces prétentions relèvent du pur fantasme : les cimetières, les prisons et les centres de détention sont remplis de martyrs libres et de détenus honorables. La dernière victime de cette bande criminelle est l’écrivain et penseur Boualem Sansal.
