« Le président » Abdelmadjid Tebboune n’a jamais oublié qu’Ali Haddad était la cause de sa révocation quand il a été Premier ministre après moins de trois mois seulement après sa nomination à ce poste. Car le train de Tebboune a rapidement heurté une épaisse barrière, l’influent financier et l’homme d’affaires Ali Haddad, qui était à cet époque très proche du frère de Bouteflika, Saïd Bouteflika, qui occupait le poste du conseiller présidentiel …
Plusieurs milliers de familles soutenues par des travailleurs de l’entreprise d’Ali Haddad le corrompu, sont maintenant victimes de cette haine entre Tebboune et Haddad.
C’est pour cela, les travailleurs du groupe ETRHB affilié à l’homme d’affaires Ali Haddad, actuellement détenu, ont lancé un appel de détresse au corrompu (président de la République) Abdelmajid Tebboune, où des représentants syndicaux affiliés à l’UGTA du groupe l’ETRHB ont critiqué le rôle joué par la présidence sur la situation tragique dont l’entreprise a été témoin depuis le début des manifestations populaires.
L’UGTA a déclaré qu’en absence de visibilité à court, moyen et long terme nous sommes très inquiets du devenir de notre entreprise et par voie de conséquence des postes de travail directs de plus de 5000 travailleurs qui protestent contre Abdelmajid Tebboune et contre le non-paiement des salaires depuis juillet 2019 et l’arrêt complet des activités de chantier, des usines et des centres de production ainsi que la perte de plus d’un projet et la résiliation de nombreux contrats de projet (20 milliards de dinars de la piste de l’aéroport d’Alger: 3 milliards de dinars d’approvisionnement en eau du barrage de Bou Hanifia: 9 milliards de dinars sont des projets divers) et tous ces projets ont étaient attribués à des personnes corrompues proches de Tebboune.