Dans le pays de Mickey aujourd’hui, 1er mai, la journée mondiale des travailleurs, et rien en Algérie n’indique que les travailleurs jouissent des moindres droits et que leur condition de travail est réconfortante.
Partout où vous allez, il y a des usines qui font faillite et licencient des dizaines de travailleurs sans parler de la loi de la jungle qui s’applique dans les usines en Algérie ainsi que les licenciements arbitraires et harcèlement et l’exploitation sexuelle, économique et le déni des droits syndicaux dans de nombreuses entreprises qui ne visent que le profit rapide.
En fait, le travailleur algérien n’est qu’un esclave avec un numéro et peut être éliminé à tout moment. Ces entreprises sont tout simplement au-dessus de la loi car elles appartiennent aux généraux et à leurs familles.
En effet, dans notre pays qui est gouverné par un groupe dissident de généraux traîtres, les valeurs humaines se replient au profit de l’émergence des valeurs de servitude des travailleurs, qui favorise les projets économiques à l’être humain et l’argent à l’humanité et de l’invisible au tangible. Il est très clair pour tout le monde en Algérie que les nouvelles entreprises économiques qui existent dans tous les wilayas et qui appartiennent à la liste du royaume sauvage des généraux, travaillant principalement à réduire les coûts de production afin d’augmenter les bénéfices. Afin d’atteindre cette aspiration, qui est en fait des vampires dont le but est le profit au détriment de l’acteur humain, les généraux asservissent les citoyens de manière humiliante et dégradante et avec des salaires qui ne se retrouvent même pas au Népal où les travailleurs reçoivent un montant de 120 $ en échange de 200 heures de travail par mois, car il n’y a pas de voix au-dessus de la voix du profit dans ces entreprises.
Cependant, l’insolence des généraux ne s’arrête pas là. Les profits de leurs entreprises s’échappent tous au paradis de l’évasion fiscale au Panama et aux Émirats, en laissant l’ouvrier algérien entre l’enclume du gagne-pain et le marteau de l’esclavage.