Comment Tebboune veut t-il pousser l’Algérie dans un gouffre pour s’échapper de la crise économique ?

Dès le début, les libéraux ont mis en garde contre les généraux traitres et leur chien Tebboune qui exploitent l’état mondial de la pandémie du virus Corona pour imposer de nouvelles restrictions aux citoyens et régler ses comptes avec ceux qui rejettent leurs plans.
En effet, le chien des généraux, Tebboune, prend du virus Corona et des mesures de précaution pour y faire face comme justification pour mettre en œuvre des décisions dictatoriales contre les citoyens, resserrer la sécurité, restreindre les libertés et transformer les zones de la source des manifestations en une grande prison dans l’exploitation hideuse et laide de cette épidémie mondiale.
Et après que les choses soient devenues incontrôlables à cause des récentes arrestations brutales et arbitraires des jeunes et la sortie du peuple pour manifester dans plusieurs villes et wilayas, Tebboune, le chien des généraux, a déclaré qu’il imposerait un confinement stricte, ce qui signifierait que davantage de journalistes et d’opposants politiques seraient emprisonnés, et imposerait une censure stricte aux médias et à la presse, en particulier les médias électroniques.
Le chien des généraux a profité de la crise de Covid-19 pour jeter le journaliste indépendant Khaled Drareni en détention provisoire et a condamné Karim Tabbou, l’un des principaux militants du Hirak, à un an de prison, sachant que sa libération était prévue pour le 26 mars dernier.
Cela a conduit le bureau d’Amnesty International en Algérie, qui a demandé la libération de tous les prisonniers d’opinion, à accuser Tebboune d’exploiter la crise du virus Corona pour imposer son emprise sur la société civile et les médias. Et exige qu’il libère immédiatement toutes les personnes emprisonnées pour avoir simplement exercé pacifiquement leurs droits, tandis que des experts internationaux ont déclaré que Tebboune poussait la situation à la congestion pour s’échapper des problèmes économiques, en particulier après la catastrophe de la chute des prix du pétrole.