Tebboune a nommé le violeur et le criminel Abdelaziz Moudjahid au poste de conseiller présidentiel

Les femmes algériennes qui ont été arrêtées pendant la décennie noire souffrent toujours de conditions tragiques laissées par le système des généraux pendant la décennie noire.
Les rapports des médias et des droits de l’homme ont témoigné de la dictature des généraux et des milliers de crimes brutaux et de violations commises qu’ils ont commise par eux et par leur milices contre les femmes algériennes, de sorte que ces rapports indiquent les différents types de crimes des généraux contre les femmes algériennes, entre agressions physiques, d’enlèvement, arrestations forcées, extorsion, intimidation et autres violations qui ont touché des milliers de personnes …
Dans la décennie noire, le boucher, Abdelaziz Moudjahid a beaucoup monté en puissance qui était tellement sadique qu’il aimait torturer les gens en enfonçant des barres de fer dans le derrière des citoyens et coupait les doigts des détenus. Mais la chose la plus horrible qu’il faite est lorsqu’il a ordonné le viol des femmes libres dans les sous-sols de torture devant leurs maris détenus pour les terroriser et avoir leurs aveux en les menaçant de commettre la même chose avec leur mère.
Le système des généraux, qui domine le peuple algérien, a fait couler beaucoup de sang du peuple de ce pays et a limité leurs libertés et leur droit à l’expression. Le système des généraux n’aurait pas pu continuer son régime autoritaire sans le soutien international de la Russie, de l’Amérique et de l’entité sioniste. Parce que ce qui se passe en Algérie contre le peuple aujourd’hui est le produit de cette idéologie sadique qui est enracinée dans l’esprit de ces généraux traîtres qui dominent le peuple opprimé. Et qui a dit son mot avec courage, rejetant toutes les formes de subordination et de servitude. Par conséquent, le système des généraux a ramené des criminels comme le boucher Abdelaziz Moudjahid qui devront être pendu au lieu d’avoir le poste de conseiller présidentiel, pour réprimer, effrayer et remettre les gens en place sous les souliers des généraux.