Le général Chengriha, un lion en Algérie, un chien obéissant aux Émirats

De nombreuses histoires promues par les esclaves des généraux sur le dirigeant du pays, le dictateur général Saïd Chengriha, sur sa force et sa puissance.
Et comment les hauts gradés de l’armée pissent dans leur culote de peur en entendant simplement le nom du général Chengriha.
La méprise de ce dictateur au peuple algérien, n’a pas de frontières, et ne voit en ce peuple qu’un troupeau de moutons qui doit obéir à ses ordres partout et à tout moment et tous ceux qui refusent d’obéir sont emprisonnés et torturés.
En effet, ces récents procès et arrestations montrent clairement que l’écart se creuse entre le peuple et le système des généraux qui tient à maintenir la situation telle qu’elle est et refuse de changer contrairement à la nature de la vie qui évolue. Les généraux veulent arrêter le temps, mais, hélas il est intrinsèquement étourdi et ne peut pas s’arrêter juste pour l’intérêt d’une personne ou d’un système …
Depuis le règne de Houari Boumédiène à Chengriha, la même tragédie se répète aux yeux du peuple algérien, et au détriment de son droit à une vie décente. La grande partie du peuple algérien ne peut pas prononcer la phrase «Non au pouvoir des généraux dictateurs». Parce que la plupart des Algériens se sont habitués à d’humiliation et l’esclavage, même s’il a été prouvé pour la millionième fois que la tyrannie ne peut construire des civilisations.
Et nous voilà, en ce moment, regarder le système des généraux, entrain de nous manger tout cru et à continuer de voler nos ressources. Mais cette fois ci, sur demande, après être convoqué par les esclaves. En fait, Ils ont permis aux généraux qui se sont armés de notre richesse nationale pour acheter le soutien des pays occidentaux afin d’affronter le peuple algérien et d’accumuler une richesse sans précédent.
Ces traîtres, comme Chengriha, deviennent des lions devant le peuple algérien, mais à l’étranger, ils sont comme des chiens, ils n’ont aucune valeur et la meilleure preuve de la façon dont Mohammed ben Zayed Al Nahyane les traitent comme des chiens obéissants.