Le système des généraux est le colonialisme sous toutes ses formes et couleurs, ne peut pas être modifié ni changé sa vision d’exploiter les ressources des peuples et à piller ses biens.
Il est vrai qu’il développe ses méthodes et ses outils pour apparaître comme un acte héroïque accompagné d’infusion et désinformation médiatique avec de nombreux adeptes aux « doigts bleus » qui se sont vendus au régime pour quelques dinars.
Les généraux en Algérie ont une histoire noire avec l’application de la politique de la terre brûlée et des génocides bien connus. Depuis qu’ils ont kidnappé le pouvoir en Algérie et leurs crimes n’ont jamais cessé un seul instant, ils ont plutôt évolué pour devenir une décennie noire, un embargo, des assassinats et des arrestations pour tous les dissidents des généraux.
En effet, la punition commence par les massacres et les terres brulées, et lorsque la répression ne fonctionne plus contre le peuple, d’autres plans terroristes sont prêts. C’est ce qui s’est passé alors que les gens s’apprêtaient à retourner au hirak après les vacances de l’Aïd. Les gendarmes ont brûlé des récoltes de blé et des palmiers pour que le peuple algérien ne puisse trouver un moyen de subsistance afin s’agenouiller et embrasser les souliers des généraux …
En revanche, le brouillard qui entoure l’avenir du peuple algérien à cause du Coronavirus et ses nombreux problèmes qui s’accumulent quotidiennement ce qui a permis au système des généraux de manœuvrer avec un grand confort et dans un grand calme pour arrêter ou tuer ce qu’il veut après que le Hirak soit devenu en dernier dans la liste des préoccupations de la plupart du peuple algérien.
Malgré cela, les yeux des libéraux n’ont pas dormi et ont dévoilé le plan des gendarmes qui ont brûlé les récoltes et les palmeraies, ce qui a poussé le chien des généraux (président de la République, chef suprême des forces armées) à mettre fin aux fonctions du patron de la gendarmerie nationale, le général major Abderrahmane Arar, suite au complot du système qui a été découvert par le peuple ainsi que de ne pas pouvoir mettre en œuvre le plan avec la précision requise.
Aujourd’hui, le système des généraux se débat dans le vide et la politique de la terre brûlée est l’une des dernières cartes qu’il joue.