Après l’assassinat du militant Tarek Zedam et la tentative de tuer l’activiste Brahim Laalami et l’enlèvement de dizaines de citoyens libres, le régime des généraux est devenu le plus expérimenté en matière d’enlèvement et de meurtre de journalistes et de dissidents dans le monde.
La main de l’autorité en Algérie ne touche pas seulement ses opposants directs, mais aussi ceux qui s’opposent à toute décision prise ou adoptée par l’autorité. Même les généraux eux-mêmes n’étaient pas à l’abri des assassinats et des enlèvements. La politique d’assassinats et d’enlèvements que les autorités pratiquaient en Algérie touchait même les non-Algériens …
En fait, le meurtre et l’enlèvement exercé par le régime des généraux sur l’opposition n’est pas nouveau, car ce régime a lancé la première de ces mesures depuis le coup d’État du traître Houari Boumédiène contre les moudjahidines où il a tué et kidnappé des centaines de moudjahidines en représailles aux mouvement de la résistance contre le colonialisme français, et l’histoire témoigne avec des lettres noires que le généraux sanguinaires ont une longue histoire dans les assassinats et les enlèvements ainsi que dans l’harcèlement des opposants, des Intellectuels et des politiciens qui les critiquent et qui s’opposent à leur politique ratée. L’Algérie a une longue histoire d’enlèvement de tous ceux qui s’opposent aux généraux au pouvoir, de sorte que parfois ils kidnappaient même les familles et les enfants de ces opposants de manière odieuse. En fait, les généraux peuvent atteindre leurs opposants où qu’ils soient dans le monde.
Les «généraux» ont une longue histoire d’enlèvements et d’assassinats de dissidents et dans certains cas, ils enlevaient même les cadavres des opposants après les avoir tués et pour priver leur famille de les enterrer.
Ces généraux n’ont tout simplement aucune pitié pour le peuple algérien, parce qu’ils sont des salauds issus du sperme des soldats français. Un siècle et demi de la colonisation française, a produit de nombreux sales bâtards qui gouvernent désormais le pays, dont Tebboune et le général Chengriha.