Dans tous les gouvernements des pays du monde, dès leur formation, ils sont tenus de réduire la pauvreté et le taux de chômage et d’améliorer les conditions de vie, sauf en Algérie, où tout les gouvernements formés, les généraux ne font que fourrer leur nez dans les affaires des voisins en impliquant le pays dans des conflits et des problèmes.
Ce gouvernement de Mickey ne fournit aucun programme ni stratégie de travail concrète, qui contribuent à atteindre l’un des objectifs qu’il réclame tel de protéger le pays de toutes les formes d’autorité unilatérale, ainsi que d’une séparation des pouvoirs et de la promotion des droits et libertés des citoyens et d’assurer la transparence dans la gestion des fonds publics, afin « d’éviter au pays toute dérive vers le despotisme tyrannique et de préserver les droits et libertés des citoyens »..
Pendant que la majorité de la population algérienne vit en dessous du seuil de la pauvreté et de la misère, le chômage, le manque de logements et d’infrastructures adéquats, l’inflation et l’état désastreux de la santé publique et de l’éducation sont quelques-uns des fléaux sociaux dont souffrent les Algériens. Ce qui affaiblit le pays et rend difficile de gérer la politique extérieure, car, les tendances mondiales sont croisées avec des déséquilibres internes des pays voisins.
Dans ce scenario ,où notre pays assiste à une vague de manifestations sans précédent contre le régime des généraux, les analystes et les diplomates craignent que l’Algérie se noie dans de graves problèmes internes. Tebboune qui ne doit pas être considéré comme légitime, car il a été imposé par le régime militaire dictateur, déclare que l’Algérie est prête a intervenir pour résoudre les problèmes de la Libye, du Mali, et même les problèmes d’escargots en Australie.
Cette politique a conduit à une augmentation de la haine de l’Algérie dans le monde arabe et augmente les tensions dans la région.
Le citoyen algérien est étouffé par la crise interne dû aux conséquences de la politique des généraux, pendant plus de 4 décennies, dont il est impossible d’imaginer de grands projets.
Les observateurs constatent que le régime des généraux poursuit la politique de « fouiner » en collant le nez aux problèmes des voisins dans une misérable tentative d’atténuer la colère populaire face à l’échec de ses politiques économiques et au problème ses dettes extérienures.