Dans ce pays de Mickey, on voit des merveilles tous les jours avec le régime dictateur des généraux. Si on regarde ce qu’a déclaré l’avocat de l’ancien Premier ministre, Abdelmalek Sellal «le clown du régime », reflétant le drame politique sérieux où plonge notre cher pays.
A haute voix, il a dit que son client est un symbole de la république algérienne, un ancien combattant et moudjahid qu’a passé toute sa vie au service de l’Algérie et Il faut donc lui accorder l’innocence et lui faire des excuses pour ce qu’il a offert au pays et au peuple …
De notre côté, nous disons à l’avocat de Sellal que ce dernier est l’un des alliés les plus proches de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika. Il était un symbole de corruption, de dictature un symbole de clownisme pour distraire les généraux et se moquer du peuple.
Ce misérable, qui est devenu un premier ministre par hasard, a tout donné pour vendre l’Algérie et voler les richesses de notre pays.
Ce que l’histoire a enregistré pour lui est une honte, une fierté seulement pour les politiciens corrompus, puisqu’il n’a pas hésité une seconde à vider la trésorerie générale de l’État pour remplir ses propres poches et les poches de ses seigneurs corrompus, depuis que Bouteflika est venu des bars des Émirats. Il faisait même de sa maison une banque privé pour stocker l’argent volé. Par conséquent, après avoir énuméré cette histoire pleine de corruption, Sellal doit être libéré.
Par contre, le parquet du Conseil de la magistrature algérien plaide pour une aggravation des sanctions retenues contre Ali Haddad, les anciens ministres des travaux publics, Amar Ghoul, Ahmed Ouyahia, Abdelghani Zaalane, Amara Benyounes, Abdelkader Kadi et de l’Industrie, Abdesselam Bouchouareb. le procureur général a également demandé deux ans d’emprisonnement pour Mahjoub Bedda et Youssef Yousfi, avec la confiscation de tous les biens des prévenus.