L’observateur conscient des événements en Algérie se retrouve perdu au milieu de la grande corruption perçue dans le pays et l’abus qui règnent dans les différentes institutions de l’État et que l’establishment militaire n’est, bien entendu, pas à l’abri de cette corruption qui enveloppe ses tentacules face à la terrible confusion du chef de sa hiérarchie, le général Chengriha, qui est devenu un sujet de controverse généralisée au sein de l’opinion publique locale ….
Au milieu d’une série de critiques sévères et de coups douloureux que le chef d’état-major, le général Chengriha, a reçu récemment par des médias libres, des chaînes, des journaux et des sites Web des services de renseignement ont sorti défendre leur maître avec des papiers qui correspondent à l’humeur du général Chengriha et faisant de lui l’héros invincible en Algérie en faisant de son échec un grand exploit et de sa fragilité un miracle, et en montrant son cœur noir semblable à la noirceur du charbon comme un morceau de neige blanc brillant, avec une hypocrisie flagrante pour avoir des avantages et de l’argent.
Ainsi, certains sites Web en violation de l’éthique de la profession de journaliste, ont entré par la porte dérobée afin de polir et embellir l’image du général Chengriha. Et parmi ceux qui font la propagande les plus célèbres des propagandistes de tout les temps du régime des généraux, on trouve le directeur général du groupe de médias Ennahar, Mohamed Mokaddem, dit Anis Rahmani, qui a été jugé hier dans l’affaire d’enregistrement et de diffusion d’une communication téléphonique qu’il a eue avec un officier supérieur de l’Armée, devant le tribunal de Bir Mourad Raïs (Alger).
Il est à noter que anis rahmani, est accusé par la diffusion sur internet d’un audio d’une conversation téléphonique avec un officier des services de sécurité, portant l’alias de « colonel ismaïl », il est accusé aussi de diffamation, portant atteinte à le vie privée de personnes, après le diffusion d’appels enregistrés et transmis sans l’autorisation de propriétaire.
Cependant, toutes ces accusations seront abandonnées, selon nos sources, après la chute de tous ceux qui sont fidèles au Gaid Saleh. Ainsi Anis Rahmani sera libéré pour poursuivre son passe-temps favori, de faire la propagande aux généraux dictateurs.