Sous le règne du général Chengriha, parler simplement de corruption ou critiquer le travail d’un Maire dans une petite municipalité oubliée est devenu une activité risquée.
En fait, depuis le début de 2020, arrêter des journalistes et les mettre en prison est devenu une routine quotidienne pour la machine de répression du régime des généraux.
En effet, le phénomène est devenu le reflet de la vague d’hostilité contre les médias, un phénomène qui s’est fortement répandu dans tout le pays depuis que l’armée est revenue par la force dans les cercles du pouvoir à la suite de la destitution de l’ex-président corrompu, Abdelaziz Bouteflika.
En outre, les généraux ont complètement fermé l’arc de la liberté des médias, qui est devenu sous le poids d’une censure stricte. Ainsi, les journalistes et les médias sont les nouveaux ennemis de l’État. C’est ce que Chengriha a exprimé ouvertement dans son dernier discours. Il a directement mis en garde les journalistes en disant que « Diffuser des informations qui seraient considérées comme offensantes pour l’armée et la police est une grande trahison ».
À cet égard, les tribunaux des généraux ont condamné ce qu’ils considéraient comme la tentative des forces du mal de saper la sécurité et la sûreté de la patrie en diffusant et en répandant des mensonges et de Fake news à travers divers médias et sites de réseaux sociaux. Où ils ont donné l’ordre à toutes les branches de la sécurité du pays de scruter le contenu des médias afin de traquer les «Fake News».
Dans le même contexte, des accusations de «conspiration» contre l’État planent désormais sur les médias, qui ne déclarent pas ouvertement leur allégeance au régime des généraux au pouvoir dans le pays.
Comment le général Chengriha a-t-il mis la presse en Algérie sous ses bottes ?
Sous le règne du général Chengriha, parler simplement de corruption ou critiquer le travail d’un Maire dans une petite municipalité oubliée est devenu une activité risquée.
En fait, depuis le début de 2020, arrêter des journalistes et les mettre en prison est devenu une routine quotidienne pour la machine de répression du régime des généraux.
En effet, le phénomène est devenu le reflet de la vague d’hostilité contre les médias, un phénomène qui s’est fortement répandu dans tout le pays depuis que l’armée est revenue par la force dans les cercles du pouvoir à la suite de la destitution de l’ex-président corrompu, Abdelaziz Bouteflika.
En outre, les généraux ont complètement fermé l’arc de la liberté des médias, qui est devenu sous le poids d’une censure stricte. Ainsi, les journalistes et les médias sont les nouveaux ennemis de l’État. C’est ce que Chengriha a exprimé ouvertement dans son dernier discours. Il a directement mis en garde les journalistes en disant que « Diffuser des informations qui seraient considérées comme offensantes pour l’armée et la police est une grande trahison ».
À cet égard, les tribunaux des généraux ont condamné ce qu’ils considéraient comme la tentative des forces du mal de saper la sécurité et la sûreté de la patrie en diffusant et en répandant des mensonges et de Fake news à travers divers médias et sites de réseaux sociaux. Où ils ont donné l’ordre à toutes les branches de la sécurité du pays de scruter le contenu des médias afin de traquer les «Fake News».
Dans le même contexte, des accusations de «conspiration» contre l’État planent désormais sur les médias, qui ne déclarent pas ouvertement leur allégeance au régime des généraux au pouvoir dans le pays.