La presse des généraux n’a laissé aucune histoire au monde qu’elle n’ait pas abordée, du sauvetage des mouches jaunes en Djibouti à la mort de la tortue géante en Australie. Cependant, la presse de la honte ignore complètement la discussion des besoins et les problèmes du peuple algérien ainsi que la corruption des généraux et de leurs fils. Parce que ce type de presse jaune est l’arme des généraux, pour disperser l’attention des citoyens de la crise politique et économique en cours dans le pays.
En effet, c’est la presse de la fornication, de la tyrannie et des prêtres de la corruption. Ainsi, la presse en Algérie s’est transformée en la dépouille d’une femme violée chaque jour par les généraux et les propagandistes de l’illusion selon des rituelles pécheresses embourbées dans l’arriération …
En outre, la presse de la honte (Ennahar, El Khabar, Echorouk, El bilad et El Hayat) met en œuvre des programmes corrompus et autoritaires et surfe sur des vagues d’abus d’une manière destructrice pour tous nos rêves jusqu’à ce que la corruption devienne l’un de ses piliers structurels.
Le journaliste algérien s’est donc transformé en un loup obéissant qui écrit avec un prix plus bas que ses mœurs pour faire la propagande aux généraux et leurs mafias répandues dans toutes les régions du pays.
Le journaliste algérien est devenu le synonyme de la corruption de la bande des généraux et pour commercialiser leurs médiocrités à l’aide de la presse jaune qui écrit en échange d’un prépaiement afin de tuer nos rêves pour un état civil où tous les Algériens vivront sous son toit.
À cause du journalisme de la honte (Ennahar, El Khabar, Echorouk, El bilad et El Hayat), l’arriération de la société s’est répandue et l’avenir de trois générations fait ses adieux en Algérie.