Un grand scandale en Algérie concernant l’acquisition du vaccin de Coronavirus des superpuissances

Tous les rapports et chiffres publiés par le gouvernement ont révélé une diminution accélérée des réserves de change qui a dépassé les attentes de tous les experts économiques, malgré la différence des statistiques du gouvernement et celles de la banque centrale à de nombreuses reprises et à de nombreuses occasions.
Cependant, la plupart des données convergent vers une réalité unique, qui est l’évaporation rapide des réserves de devises fortes de l’Algérie et l’augmentation folle de l’inflation …
Il ressort clairement des récents chiffres publiés par la Banque centrale que la diminution agressive des réserves du pays, qui est le seul financier du commerce extérieur, a échappé au contrôle des autorités et les experts économiques ont attribué que cette crise est essentiellement due à la contrebande pratiquée par les généraux et leurs familles, la baisse continue des revenus pétroliers ainsi que la crise sanitaire causée par la pandémie du Coronavirus qui a affecté l’économie et a poussé le gouvernement à recourir aux réserves de change pour faire face à la hausse des dépenses publiques.
Par conséquent, l’Algérie ira demander de l’aide des pays étrangers, ou en d’autres termes, elle va « mendier » le vaccin de la Russie ou de la Chine ou, elle va l’acquérir d’une manière progressive par tranches sur quatre ans, en raison du manque de devises et la crise économique qui a frappé le pays.
C’est ce qui a été révélé par le directeur de la prévention et de la lutte contre les maladies transmissibles au ministère de la Santé, qui a indiqué que le coût élevé du vaccin Corona poussera l’Algérie à demander de l’aide ou à acheter des quantités limitées du vaccin grâce à des versements réduits.
En plus de cela, l’énorme demande mondiale de vaccin impose à l’Algérie de demander également des quantités limitées. Le Dr Djamel Fourar, directeur de la prévention et de la lutte contre les maladies transmissibles au ministère de la Santé, a déclaré qu’un vaccin coûte beaucoup d’argent, ce que l’État ne peut pas se permettre car l’Algérie traverse une crise économique et le pays se dirige vers l’inconnu.