La lutte contre le terrorisme reste le jeu classique préféré des services de renseignement pour contrôler l’Algérie

Après notre mise en garde, auparavant contre le danger des généraux et que les services des renseignements reviendraient à leur jeu favori, la mise en place de la politique de terreur du peuple algérien, afin de ne pas revenir aux manifestations
Une source de sécurité a révélé à notre site Web, que le nombre de victimes de l’explosion d’une bombe artisanale dans la commune de Telidjane, à la wilaya de Tébessa, est passé à 5 personnes. Ces bombes bien connus pendant la décennie noire en Algérie, sont implantés par les escadrons de la mort du renseignement militaire, pendant cette époque, sur tout le territoire de la république.
La même source a mentionné que les victimes étaient en route en voiture pour un séjour de chasse et sont entrés dans un champ de mine traditionnelle. Les corps des victimes ont été emmenés, avec les deux blessés, à l’hôpital Tidjani Haddam de Bir El Ater, a précisé la même source.
Par ailleurs et dans le cadre du jeu classique de la lutte contre le terrorisme dans le pays et le dressage des brebis en Algérie pour former aussi bien des obéissants qu’un groupe de soldats à la disposition des généraux, et à la suite d’une embuscade dans Oued Boudekhane, Sud-ouest de Guentis dans la wilaya de Khenchela en 5e Région Militaire, un détachement de l’Armée nationale populaire a abattu un présumé terroriste dangereux dans l’après-midi et a réussi à saisir un pistolet mitrailleur de type RPK, trois chargeurs garnis de munitions, un poste de transmission radio et deux téléphones portables.
Toutes ces opérations terroristes qui ont eu lieu et qui se produiront sûrement dans les prochains jours ont coïncidé avec la répartition des côtes du soit disant triangle de la mort de la décennie noire. Il s’agit du général Toufiq, du général Nizar et du criminel le général Chengriha, le chef d’état-major, qui était à la tête des unités de l’armé les plus meurtrières dans l’histoire de l’Algérie.