Dans les pays démocratiques développés qui accordent de la valeur à leurs citoyens, le pouvoir judiciaire est indépendant afin de préserver un Etat de droit indépendant, développé, juste et prospère, pour rassurer le peuple, et protéger ses intérêts en établissant de l’équité et de la justice, combattant l’injustice et l’affrontant parce que la vie de l’État et sa stabilité est basée sur la loi. Ce qui est lié au devoir de l’État de faire respecter la loi et la justice, qui sous son ombre le pays témoigne de la prospérité et du développement dans tout les domaines de la vie, et aide à faire exploiter les énergies et les talents, suscite une forte motivation et mobilise la population pour rivaliser dans la construction et le progrès…
À l’inverse en Algérie, les institutions juridiques et les juges sont au service des généraux. C’est ce qui a conduit à la perturbation de l’image du régime, et à la perte de sa crédibilité et pousse les Algériens sur le toit brulant à sortir dans les rues.
Avec la prolifération de tous formes d’injustice et de favoritisme, les généraux ont eu recours, pour tenter d’établir leur souveraineté, et la renforcer, qu’à toucher à la liberté des Algériens et les soumettant à l’esclavage. Et au lieu de recourir à réformer le système judiciaire, ils essaient malheureusement d’écraser les citoyens avec leur système judiciaire corrompu.
En outre, leur iniquité masquée reflété dans des décisions judiciaires mal placés et qui manque de la transparence et de l’honnêteté, ce qui exacerbe la plainte et le mécontentement du people après la perte des éléments de sécurité et de sûreté.
Dans ce cas, la relation entre le régime et les éléments de sûreté est basée sur la terreur le doute et l’incertitude, et de créer une atmosphère empoisonnée qui élargi l’abîme entre le régime et le people tuant toutes sortes de vies sous ses formes saines et correctes.
En effet, la corruption du pouvoir judiciaire signifie nécessairement, comme nous l’avons indiqué, la propagation de l’injustice et l’absence de justice, qui toutes deux périssent les pays et corrompent les systèmes, aggravent les conditions de vie et envahissent la souffrance.
Comme Ibn Khaldoun, l’a mentionné dans son introduction quand il a dit que la corruption du pouvoir judiciaire mène à la fin des États, et a mentionné également que l’injustice annonce la destruction de la civilisation.