Notre pays traverse une phase économique très délicate, car la croissance future de ses indicateurs est dans un état d’épreuve basé sur un engagement en faveur d’un certain nombre de mesures de soutien aux secteurs productifs hors du pétrole pour renforcer la stabilité sociale. D’un autre côté, l’étude du Groupe de la Banque mondiale montre que si les prix mondiaux du pétrole continuent de baisser et que la demande mondiale de pétrole recule au cours de la nouvelle année, le taux de croissance économique en Algérie diminuera considérablement et l’inflation augmentera en flèche.
Cependant, les généraux sont de plus en plus nerveux et préparent le pays à des temps plus difficiles car les tendances sont clairement négatives et afin d’éviter le grand effondrement, le régime des généraux a exigé l’austérité et limite la consommation de la viande et les fruits importés peu importe à quel point la vie du peuple algérien est difficile. Maintenant, il devrait serrer encore plus la ceinture, en oubliant le droit de vivre comme des humains.
La Ligue algérienne des droits de l’homme a confirmé dans un rapport que plus de quinze millions d’Algériens vivent avec moins avec 1,25 dollar par jour et il y a environ 72 406 Algériens qui ont essayé de monter à bord des barques pour quitter le pays clandestinement vers l’Europe en 2020 et 450 000 familles sont sans abris et ont besoin d’un logement.
L’association a déclaré que l’effondrement du pouvoir d’achat annonçait une catastrophe sociale dans le pays, parlant de l’existence de politiques qui prolongent la pauvreté, la marginalisation, l’exclusion et les inégalités. Notant que 80% de la richesse est concentrée entre les mains de 10% des Algériens.
Et malgré tous ces problèmes, le gouvernement a révélé que l’Etat s’en chargera de toutes les dépenses des candidats aux prochaines élections, à un taux de cent pour cent, et compensera toutes les dépenses des candidats. Oui, c’est le pays de Mickey où les chiens des généraux sont des pachas.