Le système des généraux attire le Portugal avec 100 millions d’euros pour transférer ses projets d’hydrogène vert du Maroc vers l’Algérie

Dans notre nation nous sentons la honte, Est-ce qui il n’y a pas une seule personne qui ait un iota de fierté et d’orgueil chez les généraux pour agir et arrêter la farce d’être étiqueté comme une imitation du Maroc dans tous les domaines. Pourquoi le système des généraux est-il obsédé par le Maroc et veulent que l’Algérie devienne une version déformée de ce pays voisin, en écrasant l’identité Algérienne et en imposant aux citoyens la tradition et les coutumes des Marocains dans presque tout les domaines comme les vêtements et même la nourriture (tajine et couscous).
Regardez nos voisins les Libyens et les Tunisiens, ils se sont réconcilier avec eux-mêmes et ils ne voient pas l’intérêt de se calquer un autre pays.
Il y a deux semaines, le Maroc et le Portugal ont fait des accords de coopération dans le domaine du développement de l’hydrogène vert visant à jeter les bases d’un partenariat dans ce domaine énergétique entre les acteurs économiques de ces deux pays. Le ministre de l’Énergie marocain Aziz Rabbah et son homologue portugais João Pedro Matos Fernandes lors d’une cérémonie organisée en visioconférence, ont approuvé l’importance de la transition vers l’énergie verte comme catalyseur du développement durable ainsi que l’importance de l’hydrogène vert comme source.
Et dans le cadre de la politique de l’imitation de ce que fait le Maroc, le Ministre des énergies renouvelables, Chems Eddine Chitour, a discuté hier avec son homologue portugais des perspectives de coopération et de partenariat entre l’Algérie et le Portugal dans le domaine des énergies renouvelables exprimant la volonté de l’Algérie de transférer les projets signé entre le Portugal et le Maroc dans le domaine de l’hydrogène vert à l’Algérie pour la matérialisation de la coopération et du partenariat dont le Portugal serait le plus grand gagnant car il bénéficierait, avec ses projets en Algérie, à une réduction du prix du gaz lors de son achat à l’Algérie, et elle recevrait également un montant de 100 millions d’euros une fois qu’elle aurait retiré ses projets du Maroc, même si elle ne les transférait pas en Algérie.