Si l’incapacité de l’Algérie à rejoindre la révolution industrielle mondiale l’a conduit au sous-développement industriel, il ne fait aucun doute que son échec à rejoindre la révolution de l’intelligence artificielle récemment lancée, lui donne une place parmi les pays en retard, ce qui peut être choquant, mais la différence d’intelligence entre les pays développés et l’Algérie est très important..
Alors que les pays développés traversent un tournant historique représenté par la transition d’une économie basée sur la connaissance à une économie basée sur l’intelligence, nous constatons malheureusement que l’Algérie se dirige dans la direction opposée vers une économie basée sur la stupidité.
En effet, une déclaration récente selon laquelle une augmentation du volume des exportations hors du secteur des hydrocarbures a été enregistrée pour les trois premier trimestres de l’année 2021 par rapport à la même période de l’année dernière et selon le communiqué du ministère, les exportations hors hydrocarbures ont augmenté au cours du premier trimestre 2021 de 58,83%, et le taux des exportations hors hydrocarbures représentait 11,33% de la valeur totale des exportations, qui s’élevait à 870,33 millions de dollars. Et que les exportations de denrées alimentaires ont atteint 169 millions de dollars, soit une augmentation de 51%, et que la plupart des ces exportations sont des pattes de poulet et de la viande de chat et de chien, qui sont exportées vers les pays asiatiques, en particulier le Vietnam.
Les pays du monde entier investissent dans les nano-technologie et l’intelligence artificielle et cherchent l’innovation, alors que l’Algérie cherchent a prendre de l’avance dans le domaine des pattes de poulet. Oui, c’est la nouvelle Algérie promise par le général Chengriha et son chien Teboune.