Après que notre Mère France ait annoncé l’interdiction les manifestations pour soutenir les Palestiniens contre l’agression d’Israël, les fils des soldats français ont fait la même chose en Algérie pour empêcher une marche pro-palestinienne.
En effet, les autorités des généraux ont réprimé la marche de solidarité avec le peuple palestinien et dispersé violement les manifestants tiennant des drapeaux palestiniens. Outre, les forces de la police n’ont pas permis aux manifestants d’atteindre les places de la capitale.
Les opposants accusent le régime des généraux d’être trop favorable envers Israël pendant que les manifestants ont lancé des slogans tels que «généraux traîtres», «la Palestine est libre» et «la protestation est un droit légitime» pour exprimer leur solidarité avec le peuple palestinien et dénoncer le silence du régime des généraux et sa volonté de ne pas fournir de l’aide à la Palestine.
Et malgré la répression et la prévention, les militants algériens ont continué la manifestation du 117e vendredi du Mouvement populaire pour la paix, qui a été déclenché le 22 février 2019 dans de nombreux Wilayas à travers le pays, coïncidant avec l’Aïd al Fitr, en exigeant un changement radical du système actuel ainsi que le soutien du peuple palestinien à Gaza.
Chaque semaine, des marches plus importantes, des manifestants affluent vers le centre de la capitale juste après la prière du vendredi pour que ces forces de sécurité resserrent de manière inhabituelle leur cordon sur les manifestants, et des dizaines d’entre eux ont été arrêtés arbitrairement dans le but d’avorter les marches du Hirak.