L’Économie nationale est de plus en plus vulnérable aux fluctuations des prix du pétrole

L’Algérie a subi des coups successifs et souffre de plus en plus dans tous les domaines à cause de la grande stupidité des généraux et de leur chien Tebboune. Ainsi, depuis que ce dernier est devenu la façade civile et une cape pour le régime militaire, le pays se dirige vers l’abîme et la faillite…
Sur le plan économique, la situation montre que le secteur est en situation très critique suite à l’effondrement de la demande d’hydrocarbures algériens, en particulier de gaz qui a eu un impact majeur sur la valeur du dinar algérien en raison de la concurrence et des produits abondants sur les marchés mondiaux, qui est déjà menacé de s’effondrer face aux plus importantes devises mondiales, en particulier le dollar américain, sur la base duquel les devises de la Bourse du pétrole et du gaz sont évaluées, alors que le gouvernement se dirige vers une dévaluation supplémentaire de la monnaie en raison des répercussions imposées par la situation économique mondiale actuelle et la dépendance et la vulnérabilité de l’économie nationale aux fluctuations des prix du pétrole.
Dans ces perspectives, les répercussions de la crise des prix du gaz et du pétrole continuent de faire enregistrées des pertes sur la valeur du dinar algérien, qui en a fait la monnaie la plus faible d’Afrique, en raison du lien entre le gaz et les prix du pétrole avec le billet vert. Autrement dit, plus le prix est bas, plus la valeur du dollar est élevée. Par conséquent, la valeur du dinar s’est dépréciée en revanche, ce qui menace davantage le pouvoir d’achat des citoyens, bouleversé par la pandémie du coronavirus.
A cet égard, les chiffres indiquent que la dernière chose que la valeur du dinar algérien atteinte dans les transactions bancaires officielles a enregistré une baisse par rapport au dollar américain. A la fin de la semaine dernière, 1 dollar américain s’échangeait à 133,42 dinars algériens, alors que 1 euro à 162,39 dinars algériens.