Comment l’Association des oulémas musulmans algériens est devenue un cireur de chaussures des tyrans ?

Les oulémas corrompus qui s’habillent sous le couvert de la religion mettent en question la relation entre les oulémas et le gouvernement dans ce pays de Mickey.
Nous sommes au vingtième siècle, et il y a encore des fatwas conçues sur commande par les imams de l’autorité ou les oulémas de la tyrannie qui, au lieu de dire la vérité, ils diffusent les mensonges et permettent la corruption. Ils n’ont aucune foi dans leur cœur sauf d’obéir aux voyous de ce régime autoritaire.
Dans ce contexte, l’Association des oulémas musulmans algériens a confirmé la légitimité des dernières élections, dans laquelle le chien des généraux, Tebboune a déclaré qu’il n’était pas aussi soucieux de la participation des citoyens mais plutôt de ce qui serait au parlement!!!!
Oui, messieurs, il s’agit d’une vague de fatwas autoritaires suspectes qui sont souvent sollicités pour augmenter de plus en plus les soupçons autour d’eux. Ils mettent les règles religieuses et les objets hors de leur place, les déforment « complètement » et ils les passent au peuple. Ils connaissent très bien que les algériens ont peu de connaissances, ce sont des gens naïfs qui n’ont aucune intention, ils ont peu de consciences.
Alors pourquoi ceux que nous pensions être nos augures font ça ?! Pourquoi sont-ils tombés du sommet de la montagne de la révérence, de l’appréciation et de l’élévation du respect, au point le plus bas de l’humiliation, du commerce de la religion ? Ne savent-ils pas qu’en agissant ainsi, les gens ne se soucient d’aucun modèle ? Tant que ceux qui ont donné l’exemple les ont laissé tomber au moment où ils avaient besoin d’eux.
Ces hypocrites qui mentent pour recevoir des pots-de-vin ne savent-ils pas qu’avec leurs fatwas sur mesure qui vont comme un gant dans les mains des généraux, ils produisent des tyrans, ils créent un monstre qui s’appelle le seigneur Chengriha. Alors que nous détestons ce qu’ils nous attribuent, ces érudits des généraux, seront bientôt jetés dans la poubelle de l’histoire.