Malheureusement, les détentions illégales et les enlèvements d’opposants politiques sont devenus la norme en Algérie, où ils risquent d’être exposés à de graves violations des droits humains (détention arbitraire, mauvais traitements).
Et parmi les dernières victimes dans ce contexte figure l’ancien sergent du commandement de la gendarmerie nationale Mohamed Abdallah, qui a été expulsé de l’Espagne en échange d’une importante cargaison de gaz. Son histoire n’est certainement pas isolée.
Il semble que ce comportement criminel du régime s’inscrit dans une tendance officielle du pouvoir de facto qui domine le pays…
On sait que le régime des généraux en Algérie dépend de la ‘liquidation physique’ de ses opposants ou de leur disparition forcée pour dissimuler son incapacité à résoudre les problèmes du pays, et c’est lui qui prétend sauver le pays et empêcher la situation de dégénérer en guerre civile, comme le prétend leur chef qui leur a enseigné la magie, le général Chengriha (au Chili, en Argentine et au Brésil)
Cependant, toute décision atténuante devient discutable et montre que l’autorité existante n’a pas confiance en elle. Mais si la punition est sévère, elle sera plus convaincante qu’un crime qui était commis par la critique des généraux. Une pratique inhumaine à laquelle notre gouvernement semble s’attacher de plus en plus, une vieille technique nazie, qu’ils ont appliquée à leurs opposants. Non seulement en termes de punition, mais aussi dans la brutalité de sa mise en œuvre. Pour ces raisons et d’autres encore, il y a de grandes craintes que le gendarme Mohamed Abdullah subisse le même sort que le journaliste Mohamed Tamalt.