Certaines sources au sein de renseignement internes ont affirmé que le coup d’État dans l’armé avait été mené par des forces affiliées au chef de renseignement et d’information le général Kaidi Mohamed qui a préparé le terrain pour réaliser son plan.
Il avait beaucoup d’expérience, il était considéré comme la personne la plus efficace pour mener à bien sa mission et il a été chargé d’organiser un coup d’État dans un court laps de temps, pour prendre le contrôle du pays.
Les rapports de renseignement ont indiqué que l’Algérie connaîtra dans les prochains jours des conflits majeurs entre les principales alliances qui composent le pouvoir de l’Etat militaire algérien, en raison de la question de la succession du représentant de son front civil, le président malade Tebboune en cas d’aggravation de sa santé ou de sa mort, rappelant que toutes les failles de ce régime autoritaire fragile vont refaire surface.
Les mêmes sources ont ajouté que lors d’une des réunions militaires secrètes portant sur l’avenir de l’Algérie, le président algérien Tebounne a été prié de quitter la salle avant le début de la discussion.
Il a été rapporté plus tard que l’alliance des généraux Nizar et Toufik avait nommé plusieurs nouveaux visages pour la direction du renseignement et des services de renseignement, et cela n’a pas eu l’approbation du général Chengriha.
Les récentes tentatives de Kaidi de renvoyer certains retraités du département du renseignement ont été rejetées également le général Chengriha.
C’est pourquoi le général Kaidi a risqué de préparer une tentative de coup d’État contre ce dernier. Cependant l’architecte du coup d’État, malgré toute sa formation et son expérience dans les affaires politiques et militaires et le vaste domaine d’autorité qui lui a été confié, a subi une sévère défaite aux mains du chef d’état-major de l’armée nationale algérienne qui a réussi à la déjouer en raison de sa vigilance et sa ruse, en changeant les commandants des quatrième et sixième régions militaires, ce qui aurait dû avoir lieu dans l’une d’entre elles son assassinat.