La Sainte Trinité du grand général Khaled Nizar, le général Toufik et le général Chengriha ont réussi à prendre le pouvoir dans le pays sous la houlette des services secrets français. Et à mettre des chaines de fer autour du cou des Algériens, par lesquels ils seront traînés avec des chaînes, malgré les piétinements vides des faux héros des sites de réseaux sociaux qu’ils peuvent libérer la Palestine dans les publications sur les pages Facebook et Twitter.
Dès lors, de nombreux experts internationaux estiment que les « princes du régime » en Algérie exercent une double pression et suivent avec inquiétude la situation actuelle, sachant pertinemment que les revendications des Algériens ne visent pas seulement le renversement du gouvernement politique et de l’État militaire, mais aussi tous les partis qui le soutiennent et le font avancer.
Dans ce contexte, les politologues notent que la question la plus importante à se poser en Algérie aujourd’hui est de savoir qui dirige le pays en coulisses ?
Car le régime algérien est en fait une « boîte noire » d’anciens et actuels généraux de haut rang, d’officiers supérieurs du renseignement, d’hommes politiques et d’hommes d’affaires, qui forment ensemble des cercles interconnectés et mono-centriques, où un groupe de militaires se rassemble autour d’un général des plus influents, Khaled Nizar et le chef du service de renseignement (DRS) le général Toufik.
L’actuel chef d’état-major, le général Chengriha, est celui qui a fondé cette alliance avec la vieille garde, car il ne manque pas de pouvoir d’attaquer et de détruire les opposants du général Toufik et du général Chengriha, bien qu’il existe quelques conflits internes latents entre cette alliance alors que les conflits internes au sein de l’establishment militaire s’intensifient entre les petits pions de chaque général, alors à chaque fois, on entend des nouvelles du renversement de grosses têtes qui pourraient avoir l’occasion de prendre la place du général Chengriha.