Aujourd’hui, l’Algérie est toujours en proie de la folie des généraux qui sont à couteau tiré pour rompre les relations diplomatiques et créer des conflits et des guerres avec le Maroc. L’Algérie peut compter sur une option extrêmement risquée pour tout le monde, pas seulement pour le voisin marocain.
Par ailleurs, il n’est pas possible d’effacer les traces des crimes commis par ces malfaiteurs et l’on ne peut plus séparer l’absence du général d’armée, Ali Ben Ali, et de tout son équipe, composé de plusieurs généraux et officiers supérieurs, dans la scène politique. Ainsi que le sort inconnu du le général-major, Abdelhamid Ghriss, dont on ignore jusqu’à présent où il est mort ou a été détenu en prison.
C’est le côté obscur du général Chengriha, le chef d’état-major, qui a remporté la bataille des trônes, et il est l’homme fort sur la scène qui mène le pays à la guerre et à l’assassinat de ses collègues de guerre, et c’est lui qui est à l’origine de l’élimination du général d’armée, Ali Ben Ali, suite au conflit au sein des institutions sécuritaires et militaires, d’autant que l’hostilité a récemment culminé par rapport aux dernières tentatives de l’entourage de Gaïd Saleh pour assassiner Chengriha lors de sa visite dans le quatrième région militaire. Chengriha a pris connaissance du plan et a reporté sa visite jusqu’à ce qu’il puisse éliminer le commandant de la quatrième région militaire, et le remplacer par l’un de ses fidèles chiens.
On peut dire que Chengriha, qui a, en fait, renversé les deux généraux Ali ben Ali et Ghriss, est un homme très pragmatique qui ne se sent pas gêné d’abandonner ses amis ou de renverser ses adversaires, comme il a tué son bienfaiteur, Gaid Saleh, quelques jours après sa promotion.
En refusant la paix et les solutions diplomatiques, l’Algérie risque-t-elle d’être entraînée dans une guerre contre le Maroc ?