La politique « diviser pour régner » était le principe le plus important de la pensée politique coloniale française, qui a joué plus tard un rôle clé dans la construction et l’établissement de ce maudit système par les généraux et les dirigeants de l’Algérie.
Les généraux au pouvoir veulent créer des différences et des divisions parmi les Algériens et posent en permanence les obstacles à la dynamique d’unité et de cohésion et poussent les frères à s’entretuer afin de dominer facilement et protéger leurs intérêts et les intérêts de leurs enfants, pillé les richesses et atteindre divers objectifs politiques. Cela inclut de rendre ce pays chaotique, plein de la peur et confusion, manquant le sentiment de paix, de liberté et de bonne initiative.
Et le recours à cette référence, qui s’appuie sur la politique anti-unité nationale par le général Chengriha est nécessaire car l’asservissement d’un peuple et la saisie de ses terres et de ses richesses nécessitent d’abord de le diviser pour en finir avec l’affaiblissement des forces de toutes les parties, suivant le proverbe qui dit la Grande Pierre est difficile de la contrôler, de la transporter ou de l’utiliser sans la démolir et la casser en petits morceaux, afin de la reconstruire à nouveau selon la perception des généraux. Et à partir de là, le général Chengriha s’est concentré a donné toute sa force pour attaquer les Kabyles, et même la mort de Djamel Ben Ismaïl qui a été lynché et brûlé a été planifié et orchestré selon un scénario bien pensé et étudié, par le chef de bande, le général Chengriha afin de créer la sédition sous le principe de diviser pour régner et contrôler le peuple Algérien.