On estime que la situation en Algérie restera incertaine plutôt que de rattraper son retard en 2022, alors que les exigences de politique intérieure et étrangère pour un ordre économiquement, socialement et politiquement acceptable étaient déjà fortes.
Plusieurs instituts internationaux dirigés par l’institut américain « AEI » ont publié des rapports indiquant que l’Algérie, premier pays instable en 2022, sera plus fragile que certains pays arabes ruinés ces dernières années, tels que Yémen, Syrie, Irak, Libye. …
Ce rapport, rédigé par un ancien et important responsable du Pentagone américain, met en garde les principales institutions économiques mondiales de ne pas investir dans dix pays où l’Algérie se classe troisième après le Tchad et le Mali, suivi par l’Éthiopie, la Mauritanie, le Niger, le Liban, la Jordanie et le Venezuela. La défense est chargée de former les officiers de l’armée sur les indicateurs politiques et économiques avant le déploiement au Moyen-Orient et en Afrique du Nord et de citer la situation sécuritaire pendant cette période
Le déséquilibre économique a été exacerbé par la récession, et les efforts pour le dissimuler sont susceptibles de conduire à la controverse
Le rapport cite également l’existence de menaces terroristes dans le sud et des livraisons d’armes en provenance de Libye.
Il y a donc de bonnes raisons pour que le président Emmanuel Macron et ses rivaux, en particulier les partis de droite, prennent cette étude au sérieux et se méfient des développements dangereux qui vont émerger dans l’arrière-cour de la France avant d’entrer dans la bataille politique pour les élections présidentielles.