Polémique autour du chef du renseignement algérien accusé d’espionnage

Nos sources bien informées ont révélé que l’alliance du général Chengriha a apporté des changements majeurs dans le service algérien de renseignement et de sécurité.
Il avait officiellement remplacé le général Mohamed Kaidi, chef du renseignement militaire algérien et chef de département « emploi et préparation » de l’Armée nationale populaire, par le général belkacem hasnat après son arrestation pour son implication dans une fuite importante de documents confidentiels et de correspondances au sein du ministère de la Défense outre l’espionnage pour des pays étrangers…
Les mêmes sources ont déclaré que le général kaidi, 60 ans, est accusé effectivement en plus d’espionnage pour propagande portant atteinte à la sécurité nationale richesse illicite.
Cela a conduit à une controverse et à des questions sur les dangers des accusations portées contre lui et sur le poste et le service qu’il dirigeait.
L’un des généraux appartenant au DRS a admis que kaidi était impliqué dans la fuite des informations secrètes liées au service algérien de renseignement et de sécurité.
Le général (NM) a déclaré que « Je confirme que la personne qui était arrêté le 1er novembre en possession illégale de documents privés, est surnommée Ali Lapointe, le chauffeur personnel du général Kaidi, toujours en état d’arrestation ».
Le général a ajouté que « Ali Lapointe » vit avec sa femme et ses trois enfants dans une villa sis route Rue Abdelkader Gadouche dans la région d’Hydra, où une cache a été trouvée dans la villa susmentionnée qui contient un certain nombre de documents confidentiels divulgués.
Les médias affiliés aux généraux avaient annoncé plus tôt qu’un espion occupant un poste sensible avait été arrêté, accusé de la trahison et fourniture d’informations confidentiels aux étrangers, au lendemain du limogeage du général Mohamed Kaidi , chef du renseignement militaire algérien par le général Chengriha.
Les médias ont indiqué que la raison du limogeage du général Kaidi était son échec à mener à bien les bases de son travail. Cependant, les rapports de renseignement ont évoqué la possibilité de son implication dans la question de la fuite de ces documents.