Le nombre d’Algériens morts ou portés disparus en tentant de traverser la Méditerranée vers l’Europe, n’a cessé d’augmenter et reste un problème urgent. Cependant, il faut préciser qu’en raison de la crise politique et économique causé par le régime dictatorial des généraux, des jeunes algériens, des femmes et des enfants, sont repoussés dans les eaux de mer et se retrouvent noyés ou disparaissent dans l’océan, mangés jusqu’aux os par les requins. « L’humanité a de nouveau été piétinée dans la mer. Honte à vous généraux! ».
Ils sont victimes des stratagèmes des politiques d’appauvrissement et d’ignorance, de la propagation de la corruption et des pots-de-vin et de la dominance de la corruption, ce qui crée une insécurité psychologique et l’absence de sécurité individuelle et collective à cela, s’ajoute le durcissement des procédures de visa pour entrer en Europe, notamment pour ceux venant d’Algérie.
Les migrants algériens préfèrent la traversée en Méditerranée, considérée comme la plus meurtrière au niveau international. Dans le même temps, les trafiquants d’êtres humains ont intensifié leurs activités au cours de la dernière période, pour compenser le déficit enregistré avec le blocus lié à la pandémie de Coronavirus.
L’absence d’emplois et la crise poussent les jeunes à émigrer et avec une série pleine de rêves, d’assurer une vie meilleure et changer une vie misérable, il n’y a plus pour les jeunes que de risquer de fuir vers la rive nord, quel que soit le montant imposé par les trafiquants d’êtres humains des organisations criminelles des généraux qui profitent de la peau des Algériens chargeant les migrants sur des canots pneumatiques mal équipés et les lancent dans un voyage dans des conditions risquées à travers la Méditerrané.
Face à la croissance démographique et aux milliers de nouveaux diplômés chaque année et à la propagation du chômage, le régime trouve une solution toute prête pour pousser les jeunes à émigrer. Cela fait partie de l’approche inhumaine et authentique du régime des généraux qui ment au peuple.
« Par peur de leur mouvement (Hirak ) à l’intérieur du pays », comme l’a dit l’un des généraux. A quoi bon ces jeunes gens qui n’ont rien d’autre à faire que de critiquer le régime ? Au moins les nourrir aux requins de la Méditerranée, le cimetière des Algériens.