Lorsque la promenade du Hirak est terminée avec le retour des fourmis dans leurs huttes, la tyrannie des généraux ont ouvert la porte à la corruption dans le pays et ont établi l’état de la corruption et sa gestion de manière organisée.
C’est le résultat naturel de l’absence de transparence, d’intégrité, de l’honnêteté et de responsabilité. Le résultat inévitable est donc la destruction de ce qui était bâti avant, la perte du développement, la propagation de la pauvreté et la perte de la sécurité psychologique et physique….
Ici, nous commençons par un message aux esclaves des généraux et à ceux qui les accompagnent. Le Saint Coran a retracé les frontières et les tâches économiques et militaires du pays en disant:
« Il sait qu’il y aura parmi vous des malades, et d’autres qui voyageront sur la terre, en quête de la grâce d’Allah, et d’autres encore qui combattront dans le chemin d’Allah.» (Sourate AL-MUZZAMIL: 20)
Le jihad économique est du ressort des hommes d’affaires et le jihad militaire est du ressort de l’armée, mais en Algérie l’armée intervient dans tout ce qui est politique, économique et sportif.
Ainsi, depuis l’indépendance, l’Algérie n’a pas connu ce à quoi elle assiste à notre époque, de la propagation de la corruption de toutes sortes et sa pénétration dans les entités des États, et sa menace aux principes de justice et d’égalité. La corruption des généraux a poussé l’Algérie vers le bas, au point que les files d’attente sont partout. L’ABC le plus simple de l’État n’existe pas. L’Algérie est un grand domaine avec 40 millions de serviteurs et sa richesse est partagée par les maîtres (généraux), c’est l’Algérie.