Au pays des généraux, le citoyen qui habite le sud de l’Algérie n’est qu’un être méprisable et un citoyen du cinquième degré, à cause des sortes d’humiliations et de mépris qu’on lui inflige alors même que le progrès intellectuel humain a imposé à tous pays, même arriérés, à respecter les conventions internationales des droits de l’homme. Cependant, l’état des généraux, est passé à une méthode nouvelle et codifiée tel que la politique de famine et de fermeture des portes contre les citoyens du sud, et cela se voit sur de nombreuses cas…
Le citoyen du sud de l’Algérie, souffre d’un manque d’opportunités d’emploi, condamné de ne jamais avoir de postes de responsabilité, dans lesquels il ne devrait pas travailler.
Toute méthode de discrimination dans l’emploi, y compris la médiocrité des services de santé, ainsi que administrative, le cas échéant.
Ici, les méthodes de discrimination sont également évidentes, car le patient du sud algérien se rend rarement à l’hôpital s’il tombe malade. A l’opposé de l’algérien du nord, il est soigné dans une clinique publique ou privée. Les citoyens du sud ne sont que des numéros, ou des êtres nuisibles dans l’état des généraux.
Par conséquent, ils ont encerclé la plupart des régions du sud, avec des barbelés, et tous ceux qui ont essayé de migrer vers le nord ont été abattus à balles réelles, comme si les citoyens du sud étaient un groupe de chiens errants. Quelle humiliation quand le citoyen goûte l’injustice de la part de ceux qu’il disait d’eux comme les protecteurs de la patrie et de l’honneur.