Une nouvelle claque reçue par le régime des généraux dans une Algérie endeuillée. Après que les États-Unis d’Amérique et de nombreux pays africains et européens ont reconnu la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental et leur appréciation de la politique d’autonomie, le Royaume d’Espagne reconnaît également la marocanité du Sahara et la solution proposée par le Maroc comme solution ultime à cette question, au milieu de l’étonnement de l’élite dirigeante du pays face à ce changement soudain de la politique de l’Espagne envers l’ennemi des généraux.
Malgré toute la cordialité et l’amour entre les deux pays, tout à coup la magie du magicien se retourne contre lui du jour au lendemain, et des milliards de dollars perdus par l’État sont perdus de la chair, des os et du sang des citoyens algériens sans défense, qu’ils n’y ont pour rien dans la question du Sahara occidental, et cela ne nous concerne pas du tout.
Notre pays est un demi-continent, et sa richesse est illimitée, elle nous suffit pour les générations à venir et nous épargne tout autre pays, à condition que la richesse soit équitablement répartie entre tous les citoyens les pauvres et les riches.
On se demande, souvent, sur ce que le peuple algérien a retiré de cette affaire ratée, et du soutien d’un groupe de voleurs appartenant aux pays ouest-africains et cubains, autre que la perte des vies et de l’argent de ces derniers.
Le citoyen algérien aujourd’hui est très nécessiteux, car l’Algérien ne trouve pas de quoi manger, lui et ses enfants, de plus que nous sommes aux portes du mois sacré, qui nécessite de nombreuses dépenses. C’est pourquoi nous sommes devenus la risée des amis, avant les ennemis. Les files d’attente sont partout et pour toutes marchandises. Nous ne pensons à avoir qu’avoir de l’huile, le lait et les pommes de terre, comme si nous étions dans une guerre ou une famine qui frappait le pays. Tandis que les généraux n’ont rien d’autre à faire que de museler les bouche, par la famine et l’intimidation, même si tout le bien est dans nos terres. Mais les généraux ont décidé de dépenser notre argent pour leurs familles et le Polisario et de blâmer le peuple, l’important c’est que les généraux et le Polisario vivent.