La fuite de fonds est considérée comme l’une des opérations illégales qui menacent l’économie algérienne et causent d’énormes pertes ainsi qu’un impact négatif sur l’économie locale, affectant la vie sociale et économique et entraînant des déséquilibres dans la balance commerciale et la production nationale.
De nombreux rapports ont révélé que le fils du criminel, le général Chengriha, Chafik, est principalement responsable de la contrebande et du blanchiment de l’argent du gang des généraux, et qu’il était à l’origine des nombreux déséquilibres dans le domaine de l’audit financier dans l’importation et le transfert de fonds au cours des deux dernières années. Succédant aux fils de Gaïd Salah, et remplaçant les fils de ce dernier, on a enregistré des opérations frauduleuses de contrebande de milliards de dollars commises par Chafik, le fils du général Chengriha et ses collaborateurs dans les factures et documents liés aux exportations. En outre, des transferts de sommes astronomiques d’argent vers des comptes bancaires sous des noms inconnus vers la Suisse et le Panama.
Pour la liquidité en Algérie, nous savons que l’armée contrôle toutes les parties du pays, en particulier les aéroports, où l’argent, la cocaïne et les prostituées sont introduits en contrebande en Europe et vers les pays du Golfe. Ainsi, le gang a fait fuir des énormes sommes d’argent vers la Tunisie avec les agents, les douaniers et les gendarmes que Chafik contrôle, et de la Tunisie vers l’Europe via la mafia italienne, qui a un partenariat fort avec l’Algérie.
L’Algérie a perdu, entre 2019 et 2021 seulement, environ 600 milliards de dinars au cours des dernières années par manipulation avec de fausses factures et la manipulation de la valeur des marchandises autorisées auprès des autorités douanières afin qu’elles puissent transférer illégalement de l’argent à travers les frontières internationales et cela sous les yeux de tout le monde et sans que personne ne puisse ouvrir la bouche car celui qui fait fuir l’argent vers l’étranger et responsable de la grave crise économique de l’Algérie était le fils du souverain du pays.