« Blasphémer Dieu » n’est pas interdit, mais insulter les généraux est un crime

« Blasphémer Dieu » est un phénomène courant en Algérie et l’insulte au caractère sacré de l’islam est habituel et des discours, qui sont considéré comme irrespectueux envers la divinité ne sont pas interdits. En effet, les Algériens ont été les premiers à faire cette réforme hérétique et maléfique dans les décennies sombres, nous jurons devant Dieu qu’il y a il y a des gens, des barbus, des salariés et des vieilles femmes qui blasphèment Dieu et personne ne les punit.
Par contre, si vous dites un mot pour critiquer les généraux et leur régime pourri vous serez immédiatement accusée de la trahison et sévèrement puni, emprisonné et humilier comme un chien.
La meilleure preuve en est la campagne impitoyable du régime honteux des généraux contre tous les honorables citoyens souffrants qui ont sincèrement exprimé leur opinion ouvertement sans glorifier, le général gay Chengriha et le président alcoolique Tebboune. Ces personnes seront kidnappées et arrêtées, et nous savons exactement ce qui se passe dans les prisons d’intimidation, de viol et de torture pouvant entraîner la mort.
Nous connaissons également le traitement royal dont bénéficient les prisonniers de la corruption financière, les voleurs d’argent public ou les dirigeants de ancien régime, et le luxe dont ils jouissent dans les prisons cinq étoiles, et la comédie que l’armée veut nous faire croire que l’Algérie est un pays de démocratie et d’égalité devant la loi, où il n’y a pas de discrimination entre ses citoyens, le grand et l’important officier général comme le simple citoyen.
C’est difficile à croire. Mais l’adepte local ou le citoyen ordinaire connaît la vérité, nous n’avons jamais entendu parler d’un général mourant en prison ou devenant totalement ou partiellement handicapé, perdant la vue, perdant son bras ou le viol d’un responsable ministériel puisque le chien ne mord jamais son ami.
Cependant, la mort et les tourments attendent les malheureux, dans les centres de détention, et nous avons une leçon à tirer du feu de Hakim Debbazi et Mohammad Tamlat, les vrais martyrs de la patrie, mais malheureusement leurs sacrifices et nos sacrifices sont juste vains, notre peuple s’est habitué à l’humiliation et à la honte et s’est contenté d’une vie de décadence et de soumission.