Plusieurs facteurs contribuent au déclin du secteur agricole algérien, dont les plus importants sont la dévastation des terres agricoles due à la désertification, la remise en état insuffisante des terres agricoles due à l’épuisement des sols et la baisse continue de la production l’urbanisation et le manque de recherche scientifique dans le domaine de l’agriculture.
Ce sont des facteurs analytiques académiques et des études simplifiées de la situation difficile de l’agriculture dans le pays.
Mais en fait, le doigt de l’accusation devrait se pointer vers le général Chengriha, Tebboune et le gang des vieillards au pouvoir, dans chaque échec affecte le pays. La corruption constaté dans un secteur ou un autre, quand on importe à peu près tout, des épices au lait, en passant par les lentilles et autres produits de consommation, jusqu’à ce que la banane devienne un fruit rare dans le pays, et l’huile pour ceux qui ont su trouver un moyen de l’avoir, au point que un citoyen ordinaire ne pense qu’à la manière dont peut parvenir sa vie, et ne remette pas en cause ses droits et prérogatives, et qui ne pense pas aux énormes sommes d’argent qui sont gaspillées en vain pour une cause qui n’est pas la nôtre. C’est ce que le régime esclavagiste de l’enfer a dépensé pour des groupes séparatrices, dont la plupart sont des mercenaires, et la majorité entre eux vivent mieux que nous, avec des biens immobiliers en Europe et des comptes astronomiques dans les banques, et ils conduisent des voitures de luxe des dernières marques, pendant que l’algérien ne trouve pas ce que lui et ses enfants vont manger, et sa principale préoccupation est d’être au premier rang dans une file d’attente interminable pour pouvoir acheter un litre de lait ou un kilo de lentilles et pommes de terre pour satisfaire la faim de ses enfants et se préparer demain pour une nouvelle file d’attente. Donc les années sèches en Algérie continueront tant que les prêtres du général Chengriha contrôleront nos richesses et nos vies.