Le secteur de la santé en Algérie est en grave difficulté en raison du manque de la vrai volonté des autorités locales à trouver une solution efficace pour près de 45 millions d’habitants, tandis que les citoyens critiquent la politique d’indifférence à leurs demandes et préoccupations, principalement leurs souffrances dues au défaut du manque d’assistance médicale, soulignant que leur embarras est exacerbé la nuit, puisque dans la plupart des wilayas algériennes il n’y a pas d’hôpitaux où les malades peuvent se rendre en cas de besoin.
Dans toute l’Algérie, y compris les villes d’Oran et la capitale, il n’y a pas d’hôpitaux avec normes internationaux, de sorte que tout responsable de haut rang tombe malade se rend directement en Europe.
les plaignants ont ajoutée bien que le pays soit l’un des pays riches en pétrole et en gaz, et que ses revenus se dénombrent en milliards de dollars, il ne dispose pas d’un seul hôpital médical doté de l’équipement nécessaire et de toutes les conditions pour les soins et le confort des patients, et ce qui est encore pire, c’est que la clinique ferme à quatre heures de l’après-midi, ce qui fait souffrir les patients d’autant plus que la fin des heures de travail les oblige à se déplacer et à parcourir des distances de plus de dizaines de kilomètres pour se faire soigner dans les communes voisines, qui vivent également de grands problèmes, notamment dans la mauvaise qualité et l’absence du service fourni dans certains cas, tandis que les habitants des déserts éloignés sont obligés de parcourir de longues distances avec le patient, au cours desquelles il peut devenir conscient ou mourir.
Par contre, certains citoyens ont confirmé que le manque des hôpitaux de leur secteur augmentait leur douleur quotidienne, en particulier pendant les périodes nocturnes où les patients et leurs familles étaient obligés de se déplacer en dehors de la commune pour recevoir des soins appropriés.
Les plaignants soulignent que les pertes financières qu’ils subissent du fait de se rendre à des hôpitaux voisins sont parmi les problèmes les plus importants qui s’ajoutent aux problèmes des patients.
Les plaignants ont également évoqué la possibilité de mettre en danger la vie des nourrissons, des enfants malades et des femmes enceintes en les transférant dans les communes voisines, et au final, c’est l’Algérie, qui nous a été imposée par le gang militaire, et soyons patients avec ce qui nous arrive tant que nous acceptons le règne des tyrans.