Il y a quelques jours, le monde entier célébrait la Journée internationale des victimes de disparitions forcées, qui est passée inaperçue en Algérie, malgré des dizaines de milliers de personnes portées disparues à l’intérieur des centres de détention militaires au milieu de la torture, de la faim, du viol et de l’humiliation.
C’est comme si le reste des personnes qui sont temporairement libérées étaient absentes de l’amère réalité ou avaient été affligées d’un état bestial à la suite de la consommation de viande d’âne. Il ne se soucie plus de rien tant que sa nourriture est disponible et que les eaux usées qu’il boit l’attendent. Il attend son tour dans les centres de détention avec servilité et soumission, et pour lui la mort est devenue meilleure que la vie des bêtes qu’il vit.
Chehib Al-Hadi, Cherfaoui Sidi Ali, Saadoun Boudjemaa, Zernaji Aziz, Hamadache Kamal, Natash Muhammad Al-Amin, Yasser Lallami, Khaled Zayati, Saber Shanini, Zainab Al-Wahrani, Fatima Boukra, Khadija Tlemceni et Ahlam Merzak et beaucoup d’autres disparus. Si vous comptez le nombre de ceux qui sont disparus pour le bien de la patrie, la liste est si longue que de gros volumes ne suffisent pas à les compter. Comme nous l’avons déjà dit, des dizaines de milliers de civils sont dans des prisons politiques et secrètes, vivent sans pitié entre torture et viol. Mais, malheureusement personne ne les défend, pas même avec un appel de détresse ou une demande d’intervention d’associations de défense des droits de l’homme pour eux. Tous ceux qui ont réussi à s’évader de l’enfer des prisons militaires et ont réussi à fuir le pays nous racontent des histoires incroyables et des conditions désastreuses dans les prisons, privés d’eau potable et d’usage quotidien, contraints de rester sales durant les longue et dures nuits froides, les cheveux se grisent.
Le dernier était le journaliste Ahmed Ben Attia, qui nous a révélé la vérité qui se passe en silence derrière les barreaux dans des aveux très graves, notamment qu’il a été torturé, abusé sexuellement et même violé. À tel point qu’il a menacé de se suicider si un officier militaire tentait d’usurper son honneur ou de le harceler.
En fait, l’homosexualité est devenue si courante chez les hauts généraux du pays qu’il abuse sexuellement des prisonniers, s’associe aux gays Wi-wai, et pour conclure cet article nous disons que la vie dans les prisons algériennes n’est pas digne des animaux, encore moins des humains.