Récemment, un certain nombre de personnes ont été violées et brutalement tuées, révélant la sauvagerie de la bande criminel des généraux pédophiles et leur mépris pour la vie et l’honneur des algériens tués avec toute insolence…
L’impact de l’agression sexuelle du régime militaire, en particulier sur les enfants, a atteint un stade dangereux en Algérie, alors que le peuple est tombé profondément dans le coma, et est devenu impuissant de réagir au vent ou à la tempête, embourbées dans la pauvreté, la faim, la propagation des maladies, la flambée des prix et de nombreux crimes.
Après le crime choquant du jeune Saïd Chetouane, 15 ans, qui a été violé collectivement au poste de police par des policiers qui ont mis en doute l’orientation sexuelle des forces de sécurité en Algérie, un autre mineur nommé D. Omar, surnommé Abdo, qui n’a jamais participé au mouvement pendant une seule journée, ni critiqué le pédophile Tebboune ou le criminel Chengriha, et n’a pas posté un seul tweet sur les réseaux sociaux exposant le gang et révélant ses plans infernaux.
Il s’est rendu sur le terrain de football afin d’assister à un match de football, pour se retrouver entassé parmi les forces de la sécurité nationale, menotté et ligoté au poste de gang, et impuissant devant un groupe de criminels homosexuels habitués à violer collectivement des enfants algériens sans surveillance ni responsabilité.
Le pire dans cet incident, selon nos sources, c’est que ces criminels qui ont fait vivre un vrai enfer au petit Abdo ont filmé leur brutalité par leurs téléphones portables avant sa mort. Abdo a été asphyxié parce que son petit corps n’a pas pu résister à cause de son asthme et de ses difficultés respiratoires, qui ont précipité sa mort. Les ecchymoses s’étendent sur tout son corps, notamment à la hauteur du tronc. La famille du garçon enfreindra-t-elle la loi du silence et demandera-t-elle une autopsie pour exposer le crime odieux commis par la police, ou le sang d’Abdo sera-t-il gaspillé dans le vent et la grande crise en Algérie ?