Le régime des vieillards du palais d’El Mouradia a repris sa diplomatie diabolique et malhonnête après que le trésor de l’État s’est rempli grâce aux revenus du pétrole et du gaz, en particulier après le déclenchement de la crise ukraino-russe. Ce comportement du régime confirme que le chef du Polisario et ses milices prennent le pas sur le peuple opprimé.
En effet, le peuple misérable souffre beaucoup pour avoir des pommes de terre, un sac de lait, une bouteille d’huile, un kilo de lentilles ou autres légumineuses. Et même une bagarre mortelle peut éclater pour un morceau de pain. Le pays, comme on le sait, est au bord de la faillite complète, économiquement, financièrement et socialement. Et les signes d’une guerre civile battent les tambours mais les vieillards maléfiques ne semblent pas hésiter à sortir de cette situation misérable. Au lieu que les dirigeants au palais d’El Mouradia prêtent attention aux souffrances des pauvres, des malheurs et de la détresse et de la rareté des aliments de base, ils ont commencé à offrir des pots-de-vin à ceux qui acceptent de s’asseoir à côté du chef du Polisario Ibrahim Ghali dans les cérémonies officielles en Algérie, ou de le recevoir comme chef d’État dans son pays comme a fait récemment, le président sud-africain, ou Kaïs Saïed, président de la République tunisienne, maudit par les chiens d’El Mouradia. Saïed a réussi, lui aussi, à plonger son pays dans une crise politique, économique, sociale, constitutionnelle et des droits de l’homme sans précédent.
En fait, la situation actuelle (la crise de l’énergie et ses prix élevés) a aidé le régime criminel d’une part à dilapider l’argent du peuple algérien provenant des revenus du pétrole et du gaz, à soudoyer certains pays d’Afrique et d’Amérique latine qui souffrent avec leurs régimes comme le peuple algérien souffre.